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Haute Couture & Menswear 2025 : ce qu’il faut retenir

Dernière mise à jour : 25 avr.


Paris, capitale de la mode, vient une fois de plus de prouver qu’elle est la seule ville capable de capturer l’essence d’une époque… en tissus et en coutures. Deux semaines. Deux Fashion Weeks. Deux visions du luxe qui façonnent ce que l’on va porter, admirer ou rêver dans les prochains mois. D’un côté, la Fashion Week masculine Automne/Hiver 2025-2026, où les créateurs ont jonglé entre héritage et avant-garde, repoussant encore plus loin les limites du vestiaire masculin. De l’autre, la Haute Couture Printemps/Été 2025, territoire de l’extravagance pure, où chaque silhouette raconte une histoire et défie la gravité avec une aisance qui frôle l’irréel.


Cette saison a été marquée par des moments forts : Pharrell et Nigo chez Louis Vuitton, qui fusionnent luxe et culture urbaine comme jamais auparavant ; Dior, qui revisite les années 50 à travers un tailoring d’une précision chirurgicale ; Valentino, qui sous la direction d’Alessandro Michele, pousse encore plus loin l’opulence théâtrale ; et Chanel, qui navigue sans capitaine officiel mais prouve que son ADN est plus solide que jamais.


Dans cet épisode, je décrypte ces défilés, leur impact et ce qu’ils nous disent sur l’évolution du style. Mais aussi, comment la mode et la pop culture s’influencent mutuellement. Parce que oui, les séries pour ados sont bien plus que des divertissements calibrés pour les marathons Netflix. Elles sont des miroirs générationnels, elles capturent les codes, les aspirations, et bien souvent, elles définissent autant les tendances que les podiums.


Alors, que vous soyez un passionné de mode ou un spectateur curieux de comprendre ce qui façonne la culture visuelle d’aujourd’hui, bienvenue dans cet épisode spécial Paris Fashion Week. Installez-vous, on entre dans les coulisses d’une industrie où l’art et le commerce se côtoient dans une danse aussi fascinante qu’impitoyable.


PFW Menswear Fall/Winter 2025-2026


Chaque année, la Fashion Week masculine de Paris fait plus que dicter des tendances : elle capture l’air du temps, cristallise les obsessions du moment et façonne la manière dont on percevra la mode dans les mois à venir. Et cette saison, elle n’a pas déçu. Entre héritage, expérimentation et revendications esthétiques, les créateurs ont livré des collections qui oscillent entre ancrage dans le passé et projection vers l’avenir. Une chose est sûre : l’homme de l’automne-hiver 2025-2026 ne cherche plus à se conformer. Il se raconte.


Prenons Louis Vuitton, par exemple. Depuis que Pharrell Williams a pris les rênes de la ligne masculine, il injecte une énergie hybride, où le luxe se mêle au streetwear sans jamais perdre en prestige. Mais cette fois, il n’a pas joué en solo. Il s’est associé à Nigo, directeur artistique de Kenzo, et leur alchimie a donné naissance à une collection qui célèbre autant l’ADN de la maison que l’influence japonaise du designer. Des fleurs de cerisier imprimées sur des ensembles ultra-sophistiqués, du denim revisité avec une rigueur artisanale digne des meilleurs maîtres tailleurs, et une fusion entre la décontraction et l’ultra-luxe qui semble définir la décennie en cours. Vuitton continue de brouiller les frontières entre le casual et le formel, entre le quotidien et l’exceptionnel.


Chez Dior, Kim Jones a opté pour un autre type de retour aux sources. Son point de départ ? Une collection féminine de 1954, qu’il a réinterprétée en version masculine avec une précision quasi-mathématique. Résultat : des silhouettes épurées, des coupes pensées pour sculpter le mouvement, et une élégance qui rappelle pourquoi Dior reste un pilier du tailoring contemporain. Le clin d’œil aux archives est assumé, mais l’exécution est résolument ancrée dans son époque : entre pièces sur-mesure et souplesse du prêt-à-porter, Kim Jones rappelle qu’en 2025, la distinction entre les deux est de plus en plus floue.


De son côté, Hermès n’a pas cherché à révolutionner quoi que ce soit… et c’est précisément là que réside sa force. Véronique Nichanian, fidèle à son approche d’une élégance fonctionnelle, a livré une collection d’une maîtrise absolue. Pas de gimmicks, pas d’effet de manche pour la viralité TikTok, juste des vêtements conçus pour durer. Des manteaux en cachemire aux coupes irréprochables, des cuirs travaillés comme des sculptures, et un hommage discret mais efficace à l’héritage équestre de la maison. Chez Hermès, la mode masculine n’a pas besoin de crier pour exister : elle s’impose par la qualité et la cohérence.


Puis vient Rick Owens, qui, fidèle à son ADN post-apocalyptique, s’est amusé à déconstruire encore un peu plus les codes masculins. Capes monumentales, silhouettes tribales, vestes aux épaules hypertrophiées… Chaque look donne l’impression d’appartenir à une humanité alternative, entre rituel ésotérique et science-fiction dystopique. L’homme selon Rick Owens est à la fois un guerrier et une énigme, et si la mode masculine se veut souvent pragmatique, lui continue de prouver qu’elle peut aussi être radicale.


Alors, que retenir de cette édition ? Que la mode masculine n’est plus seulement une affaire de coupes parfaites et de tissus précieux. Elle est devenue un champ d’expression à part entière, où les créateurs réinventent sans cesse ce que signifie "être bien habillé". Entre un Vuitton qui flirte avec l’héritage japonais, un Dior qui joue les équilibristes entre tradition et modernité, un Hermès qui mise sur la constance et un Rick Owens qui prône l’avant-garde pure, la saison FW25-26 confirme que l’homme d’aujourd’hui ne s’habille pas pour rentrer dans une case. Il choisit son récit, pièce après pièce.


Et cette manière de raconter une époque par le vêtement, c’est aussi ce que font les séries pour ados. Elles captent l’air du temps, elles reflètent les obsessions d’une génération, et surtout, elles façonnent notre manière de voir le monde. Alors, après avoir exploré comment la mode nous habille, il est temps de voir comment la pop culture nous influence, direction les séries qui ont marqué leur époque.


Haute Couture Printemps/Été 2025


La Haute Couture, c’est l’Olympe de la mode. Un univers où la rentabilité passe après la démesure, où l’artisanat défie les lois de la gravité, et où chaque collection est une déclaration d’intention. Ce n’est pas juste du vêtement, c’est une vision du monde, cousue à la main, cristal après cristal, plissé après plissé.


Et en 2025, cette vision a pris des formes aussi variées que spectaculaires. Une saison placée sous le signe du grand écart stylistique, où certains ont exploré la transparence et la délicatesse quand d’autres ont misé sur le baroque assumé. Mais une chose est sûre : le minimalisme est resté à la porte.


Chez Dior, Maria Grazia Chiuri a puisé dans les archives pour revisiter les jupons à cerceaux et les corsets, mais avec une touche de modernité. Le résultat ? Une série de robes transparentes aux structures internes apparentes, comme si la couture elle-même devenait un sujet d’exploration. De la dentelle, des broderies ultrafines, des silhouettes qui semblent flotter dans l’air… Le tout présenté dans une mise en scène inspirée des contes et des mythes anciens, avec un clin d'œil subtil à Alice au Pays des Merveilles, version époque Brat. Une déclaration d’élégance, mais aussi un pied de nez aux diktats figés de la féminité.


Chanel, de son côté, était attendu au tournant. La maison est actuellement en pleine transition, sans directeur artistique attitré depuis le départ de Virginie Viard en 2024. Et pourtant, la collection a prouvé que Chanel pouvait continuer à se réinventer même sans figure de proue. Entre tradition et réinterprétation, elle a mixé les tweeds emblématiques avec des associations de couleurs inattendues, tout en jouant sur des volumes plus fluides. Moins rigide, plus libre, mais toujours résolument Chanel. Une sorte de page blanche avant le prochain chapitre, qui pourrait bien redéfinir l’ADN de la maison.


Puis il y a eu Valentino, qui a marqué un véritable tournant avec l’arrivée d’Alessandro Michele aux commandes. L’ancien directeur artistique de Gucci n’a pas fait dans la retenue. Maximalisme, textures luxuriantes, robes dignes des fastes de la royauté : la collection était une explosion visuelle où chaque pièce semblait sortie d’un opéra grandiose. Des robes volumineuses à la structure complexe, des jeux de broderies qui prennent une dimension presque picturale… On sent que Michele veut faire de Valentino une nouvelle référence en matière d’opulence moderne.


Chez Jean Paul Gaultier, la collaboration du moment a pris une direction résolument gothique, avec une esthétique oscillant entre le romantisme noir et les références nautiques. Imaginez des corsets sculptés comme des armures, des tissus traités pour donner l’illusion d’avoir été immergés sous l’eau, des coiffes inspirées des galions d’antan. Un défilé qui aurait tout à fait pu illustrer le vestiaire d’un film de pirates version dark fantasy. Spectaculaire et fidèle à l’esprit transgressif de la maison.


Enfin, Schiaparelli a encore une fois joué sur l’illusion et le surréalisme. Kendall Jenner a marqué le show en portant une robe corset illusionniste, donnant l’impression que son corps était redessiné à même le tissu. L’art du trompe-l’œil atteint ici son paroxysme, avec des volumes exagérés et des effets de perspective qui transforment les silhouettes en véritables sculptures mouvantes.


Alors que le prêt-à-porter s’oriente de plus en plus vers des pièces fonctionnelles, modulables, conçues pour une vie hyperactive, la Haute Couture prend le contre-pied total. Ici, on ne parle pas de praticité, mais d’extravagance assumée. Un retour aux rêves démesurés, à la mise en scène, à l’idée que la mode peut encore surprendre et éblouir. Une tendance qui pourrait bien influencer l’esthétique pop des prochaines années, que ce soit dans le cinéma, les clips musicaux ou même le digital fashion qui explose sur les réseaux.


Et justement, cette dimension esthétique ne s’arrête pas aux podiums. Elle s’infiltre partout, même dans les séries qu’on regarde. Parce que oui, si aujourd’hui on voit autant de costumes ultra-stylisés dans des shows comme Euphoria, The Idol ou encore Bridgerton, c’est bien parce que la mode et la pop culture se nourrissent l’une de l’autre. Et c’est exactement ce dont on va parler maintenant.


Quand la mode influence les séries


La mode et les séries ne sont plus deux univers distincts. Aujourd’hui, regarder une série, c’est aussi observer un défilé en mouvement. Les costumes ne servent plus seulement à caractériser un personnage, ils sont devenus un argument marketing, un élément narratif à part entière et, surtout, un terrain de jeu pour les marques qui ont compris que leur plus grand podium n’était plus Paris ou Milan… mais Netflix et HBO.


Prenons Euphoria. Si la série a marqué autant la pop culture, ce n’est pas juste pour son esthétique lumineuse et ses intrigues tourmentées. Chaque épisode a transformé ses personnages en mannequins involontaires, repoussant les limites du maquillage, des coupes audacieuses et des looks ultra-personnalisés. Un exemple flagrant ? Les tenues de Maddy Perez, souvent signées Blumarine, Mugler ou Marc Jacobs, qui ont relancé la vague du Y2K en quelques mois. Euphoria n’a pas seulement capturé les tendances, elle les a créées. Dès la sortie de la première saison, les recherches pour les "tops asymétriques" ou les "robes cut-out" ont explosé sur Google. Les marques, elles, ont bien compris le phénomène et se sont empressées d’inonder le marché de pièces "inspirées de".


Et puis, impossible de parler d’influence mode sans évoquer Gossip Girl. La version originale a redéfini le style des années 2000 avec ses headbands, ses sacs Mulberry et son preppy chic qui a transformé New York en vitrine du luxe adolescent. En 2021, la série a eu droit à un reboot, moins narrativement convaincant mais avec un budget costumes qui méritait l’analyse. Fini l’uniforme scolaire classique : cette fois, chaque personnage affichait une garde-robe ultra-pointue, mélangeant streetwear et haute couture. Parce que oui, les lycéens de l’Upper East Side ne sont plus en Ralph Lauren et J.Crew, mais en Balenciaga et Rick Owens. Un changement qui reflète bien l’évolution des codes vestimentaires, où l’élite adopte une esthétique plus edgy, presque underground, pour affirmer son statut.


Et puis, il y a Bridgerton. Parce qu’en 2025, le phénomène de la régence n’est toujours pas terminé. Dès la première saison, la série a remis au goût du jour le corset, les silhouettes empire et les teintes pastel façon peinture romantique. Résultat ? Les marques se sont adaptées, et on a vu déferler une vague de collections "inspirées" des années 1800, revisitées avec des matières et des coupes contemporaines. Mais le plus intéressant, c’est que l’influence ne s’est pas arrêtée aux vêtements. Même la joaillerie et la coiffure ont suivi. Dior a multiplié les références historiques dans ses défilés, Vivienne Westwood a vu une recrudescence d’intérêt pour son style néo-romantique et, pendant plusieurs saisons, la mode a flirté avec l’esthétique aristocratique… grâce à une série Netflix.


Alors pourquoi la mode a-t-elle pris autant d’importance dans les séries ? Parce qu’aujourd’hui, l’image vend autant que le scénario. L’époque où on regardait une série juste pour son intrigue est révolue. Désormais, une série doit aussi être "fashionable", générer du contenu viral et inspirer des tendances. Les plateformes de streaming l’ont bien compris, et les créateurs de costumes sont devenus des acteurs majeurs de la stratégie marketing d’un show.


D’ailleurs, les marques ont elles aussi saisi l’opportunité. Quand une série cartonne, elle devient une machine à cash pour l’industrie textile. Les collaborations officielles se multiplient, les personnages deviennent des influenceurs malgré eux et les fans veulent s’approprier le style de leurs héros.


Parce que oui, si vous pensiez que la mode était juste une question de vêtements, détrompez-vous. Derrière tout ça, il y a aussi un business juteux. Et c’est exactement ce dont on va parler maintenant.


L’Industrie de la Mode & Son Influence Économique


La mode, c’est beau, c’est inspirant, ça fait rêver… Mais surtout, c’est un business tentaculaire qui pèse des milliards. Derrière chaque défilé, chaque silhouette qui fait sensation sur un podium, il y a des stratégies commerciales rodées, des investisseurs qui scrutent les chiffres et des marques qui calculent au millimètre près leur retour sur investissement. Et la Fashion Week n’échappe pas à cette mécanique.


Chaque saison, les collections des grandes maisons ne sont pas seulement des performances artistiques. Elles sont des leviers économiques gigantesques, capables de propulser une marque ou de la couler si l’impact commercial ne suit pas. Et en 2025, cet impact n’a jamais été aussi immédiat, ni aussi contrôlé.


Prenons l’exemple de Louis Vuitton. Depuis que Pharrell Williams est à la tête du département masculin, la maison n’a jamais été aussi bankable. Son premier défilé en juin 2023 a généré plus de 20 millions d’euros en earned media value en moins de 48 heures. Et cette dynamique continue : chaque collection est une machine à cash qui propulse les accessoires, les sneakers et les collaborations en édition limitée dans les meilleures ventes du luxe. On ne parle plus seulement de vêtements, mais d’un univers visuel complet, pensé pour être monétisé sur tous les fronts.


Et ce n’est pas un cas isolé. Dior, Chanel, Hermès… Ces mastodontes de la mode ne font pas défiler leurs créations uniquement pour l’amour du style. Un bon défilé, c’est avant tout un tremplin commercial. Après une Fashion Week réussie, les ventes des produits dérivés explosent. La pièce vue sur un podium ? Elle devient un "statement piece" qu’il faudra vendre en prêt-à-porter, en accessoires, voire en parfums et cosmétiques.


Mais le luxe n’est pas le seul à tirer profit de ces collections. La fast fashion a affûté son radar et sait repérer immédiatement ce qui fera mouche. Aujourd’hui, il ne faut que quelques jours pour qu’une version Zara ou Shein d’un look Balenciaga atterrisse sur les portants des magasins ou dans les suggestions d’achats en ligne. La boucle est bouclée : ce qui naît dans l’exclusivité la plus totale finit par se retrouver à la portée du plus grand nombre… et les maisons de luxe en sont conscientes. Certaines ont même décidé d’embrasser cette dynamique en collaborant directement avec des marques plus accessibles, comme Gucci et Adidas, ou Balmain et H&M à l’époque.


Mais là où tout s’est accéléré, c’est avec les réseaux sociaux. Aujourd’hui, un défilé ne vaut rien s’il ne devient pas viral. TikTok, Instagram et Twitter sont devenus des extensions de la Fashion Week, des espaces où chaque look est disséqué, commenté, transformé en mèmes ou en trends. On ne consomme plus la mode uniquement à travers les boutiques ou les magazines, mais aussi via des reels et des threads analysant en temps réel les tendances qui émergent des podiums.


Et au centre de tout ça : les influenceurs. Ils sont devenus les nouveaux ambassadeurs du luxe, capables de propulser une collection en un post, ou au contraire, de la faire tomber dans l’oubli si elle ne génère pas assez d’engagement. La mode est devenue une bataille d’algorithmes autant que de créativité. On ne crée plus seulement pour séduire une clientèle fidèle, mais pour nourrir un flux constant de contenu, où chaque pièce doit être "Instagrammable", "TikTok-compatible" et suffisamment spectaculaire pour captiver une audience dont l’attention ne dure que quelques secondes.


Et c’est là que réside le paradoxe ultime : la mode est plus accessible que jamais, mais aussi plus insaisissable. Ce qui est tendance aujourd’hui sera dépassé demain. Les marques doivent jongler entre désirabilité et exclusivité, entre rareté et viralité, entre héritage et innovation constante.


Alors oui, la Fashion Week reste une célébration de la créativité, un laboratoire d’idées où les designers repoussent les limites de l’esthétique. Mais c’est aussi, et surtout, une industrie de spectacle. Un show où chaque détail est pensé pour vendre, pour captiver, pour s’inscrire dans une culture du "maintenant" où tout se joue à la vitesse d’un swipe.


Et finalement, c’est peut-être ça la vraie magie de la mode : un mélange fascinant d’art et de business, où l’on oscille en permanence entre rêve et réalité, entre vision et rentabilité.


Conclusion


On l’a vu tout au long de cet épisode : la mode n’est pas juste une affaire de vêtements. C’est une industrie, une forme d’art, une mécanique économique bien huilée et surtout, un langage qui traduit les obsessions de son époque. Entre la Fashion Week masculine et la Haute Couture, cette saison nous a offert un condensé de tendances, d’audace et de renouveau. D’un côté, des créateurs qui redéfinissent l’élégance masculine en brouillant les frontières entre classique et modernité. De l’autre, des maisons qui repoussent les limites de l’imaginaire, transformant la couture en une explosion de formes et de textures.


Mais cette influence ne s’arrête pas aux podiums. Les séries pour ados l’ont bien compris. Elles ne sont plus juste des récits sur la jeunesse : elles façonnent une esthétique, dictent des tendances et captent ce qui fait vibrer une génération. Que ce soit Euphoria, Gossip Girl ou encore Bridgerton, chacune à sa manière traduit l’époque qui la voit naître, tout comme la mode reflète les évolutions sociétales.


Et derrière tout ça, il y a aussi une machine bien rodée. La mode est un business, un spectacle où tout est pensé pour vendre, influencer et créer du désir. Entre le luxe et la fast fashion, entre les podiums et Instagram, tout ce qu’on voit aujourd’hui finira demain dans nos feeds et, peut-être, dans nos placards.


Alors, quelle collection vous a le plus marqué cette saison ? Quels looks vous avez déjà repérés sur les réseaux sociaux ? Je veux vos avis, vos réactions, vos coups de cœur et même vos critiques.


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Merci d’avoir écouté cet épisode de Cappuccino & Croissant, on se retrouve très vite pour une nouvelle plongée dans l’univers fascinant de la pop culture. À très vite !

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