Docu choc : qui dit vrai ?
- Harmonie de Mieville
- 22 sept. 2024
- 12 min de lecture
Dernière mise à jour : 25 avr.

Salut tout le monde et bienvenue dans cet épisode de Cappuccino & Croissant, où aujourd'hui, on va se la jouer détective, star de cinéma, et même politicien de l’ombre... le tout avec un bon café à la main, bien sûr. Préparez-vous à siroter votre cappuccino en mode binge-watch, parce qu'on plonge dans le monde des séries documentaires et des biopics qui nous rendent totalement accros. Pourquoi ? Eh bien, parce qu’on adore la réalité… ou du moins la version bien dramatisée qu’on nous sert à l’écran !
Alors, au menu du jour, on va s'intéresser à trois genres ultra tendances qui cartonnent autant sur Netflix que sur vos fils d’actu : les séries documentaires sur le true crime, ces biopics qui nous font rêver ou pleurer, et enfin, les documentaires politiques qui nous plongent dans les coulisses du pouvoir. Et spoiler alert, on va pas juste rester en surface ! On va explorer pourquoi ces récits nous obsèdent tant, et ce, à travers le prisme de séries qui viennent des quatre coins du globe : de la France à l'Asie, en passant par l'Afrique, l'Australie et le Royaume-Uni. Bref, préparez-vous à une balade mondiale des écrans !
Les séries documentaires sur le true crime - Fascination morbide ou recherche de justice ?
Le true crime a toujours fasciné, mais depuis l'explosion des plateformes de streaming, c’est devenu un vrai phénomène mondial. Alors, pourquoi aimons-nous tant plonger dans ces histoires de meurtres, d’enquêtes et de mystères criminels ? Entre soif de justice et une curiosité un peu glauque, il y a une frontière qui mérite d’être explorée. Ce qui est sûr, c’est que ces récits nous attirent autant pour le frisson qu’ils provoquent que pour la réflexion qu’ils imposent.
Il faut dire que le true crime réveille en nous des instincts primitifs. Avouons-le, on adore jouer les Sherlock Holmes derrière notre écran, à essayer de deviner qui est coupable ou à décortiquer les moindres indices. Mais au fond, ça va plus loin que ça. Ces histoires activent notre curiosité naturelle, notre envie de comprendre l’inhumain, de regarder l’horreur en face... tout en étant bien installés dans le confort de notre canapé. Il y a ce côté rassurant : l’histoire est terrible, mais elle ne nous touchera pas directement. On est spectateurs, pas acteurs.
Et là, on touche à quelque chose d’essentiel. Le true crime, c’est une quête de vérité et de justice pour certains, mais c’est aussi un peu une fascination morbide. Certains documentaires flirtent dangereusement avec le voyeurisme. On le sait bien, certaines séries exagèrent les faits, en rajoutent sur le suspense pour capter l’audience, quitte à altérer un peu la réalité. La ligne entre le divertissement et le respect des victimes devient floue, et ça pose question. Peut-on vraiment se permettre de transformer des tragédies humaines en shows à sensations ?
Prenons par exemple Making a Murderer, qui a littéralement redéfini le genre. Cette série, sortie sur Netflix, a montré à quel point le système judiciaire américain pouvait être remis en question. On suit l’histoire de Steven Avery, accusé de meurtre dans une affaire qui semble à chaque épisode devenir plus complexe et injuste. Ce documentaire a provoqué un véritable choc culturel. Il a réveillé chez le public une envie de remettre en cause les institutions, tout en les captivant comme un bon thriller.
Dans la même veine, The Jinx sur HBO a également frappé fort. Le sujet ? Robert Durst, un riche héritier accusé de plusieurs meurtres. Mais la série va bien au-delà de l’enquête. Ce qui a rendu The Jinx si fascinante, c’est cette sensation que, derrière l’histoire criminelle, se cache un jeu de manipulation psychologique. À tel point que Robert Durst lui-même semble se piéger dans ses propres mensonges. Et puis cette fin choc où il s'incrimine involontairement... Une vraie claque.
Et en France, on n’est pas en reste avec ce type de séries. L’affaire Grégory, également sur Netflix, est un excellent exemple de l'obsession que peut susciter un mystère non résolu. En 1984, un enfant est retrouvé noyé dans les Vosges, et depuis, la vérité reste insaisissable. Cette affaire a marqué la France, mais le documentaire relance le débat des décennies plus tard, mêlant souvenirs douloureux et nouvelles révélations. Encore une fois, on voit bien ce double effet du true crime : à la fois une quête de justice, mais aussi une manière pour le public de revivre cette histoire sous un angle émotionnel et narratif captivant.
Et comment ne pas mentionner Faites entrer l’accusé ? Ce programme culte sur France Télévisions a tenu des millions de Français en haleine pendant des années. Chaque épisode décortiquait des affaires judiciaires majeures, en montrant les coulisses des procès et des enquêtes. Avec un style beaucoup plus journalistique, il a contribué à populariser les faits divers tout en restant assez sobre. Mais là encore, le public adorait se plonger dans ces histoires sordides, comme si la frontière entre la réalité et la fiction s'effaçait peu à peu.
En Asie, le true crime prend également de l’ampleur. Par exemple, Crime Stories: India Detectives sur Netflix nous plonge dans les enquêtes criminelles en Inde. On y découvre un autre type de relation entre les forces de l'ordre et les suspects, une dynamique qui met en lumière les spécificités culturelles du pays. Mais le suspense, lui, reste universel. De l’autre côté, en Corée du Sud, on a The Raincoat Killer, un documentaire qui explore l’affaire terrifiante d’un tueur en série qui a traumatisé Séoul. Ici encore, c'est le choc entre l'horreur des crimes et la fascination du public qui se joue, renforcé par une culture qui valorise la discrétion et le contrôle des émotions.
En Afrique, bien que moins connu, le true crime trouve aussi sa place. The Ripper est un documentaire sud-africain qui revient sur une série de meurtres ayant eu lieu dans les années 70 et 80. Même si cette production n’a pas eu le même écho que ses homologues américains ou européens, elle montre que la soif de comprendre le mal transcende les frontières.
Enfin, en Australie, le mystère Bogle-Chandler continue de hanter les esprits. Ce documentaire, diffusé par ABC, raconte l’affaire de deux corps retrouvés dans des circonstances étranges dans les années 60. Le mystère plane toujours, et le public adore spéculer sur ce qui a pu se passer ce jour-là.
Alors pourquoi cette fascination pour le true crime ? D’un côté, il y a l'adrénaline de se sentir impliqué dans une enquête, l’illusion de pouvoir résoudre l'énigme avant les autres. De l’autre, il y a cette étrange attirance pour la noirceur humaine. Peut-être que, quelque part, le true crime nous permet d'exorciser nos propres peurs tout en satisfaisant une curiosité morbide. Mais cette consommation massive de récits aussi tragiques soulève une question : à force de transformer la réalité en spectacle, risquons-nous de banaliser la violence et la souffrance des victimes ? Le true crime, c’est comme un miroir déformant : il nous montre le pire de l’humanité, mais parfois avec trop d’éclat.
Les biopics de célébrités - Où finit la réalité, où commence la légende ?
Les biopics de célébrités, c'est un genre qui ne cesse de captiver le public. Pourquoi ? Parce que les icônes, qu’elles soient musicales, cinématographiques, ou politiques, ont ce pouvoir quasi mystique de nous attirer, de nous faire rêver. On aime connaître leurs parcours, leurs succès, mais surtout leurs failles. On est fasciné par l’idée que derrière la célébrité, il y a des humains avec leurs propres drames, leurs propres luttes. Mais ce qui est encore plus captivant, c'est cette ligne floue entre la réalité et la légende qu’ils deviennent à travers l’écran.
Prenons Bohemian Rhapsody, ce film sur Freddie Mercury qui a explosé au box-office. D’un côté, les fans du groupe Queen ont adoré voir leur idole prendre vie à l’écran, avec Rami Malek dans un rôle magistral. Mais de l’autre, les critiques ont souligné les nombreuses libertés prises avec la réalité. Entre les chronologies réarrangées et certains aspects de la vie privée de Mercury gommés ou adoucis, on est loin d’une vérité brute. Pourtant, est-ce vraiment ce que le public cherchait ? Pas forcément. Ce que ce biopic a réussi à capturer, c’est l’énergie et l’esprit de Freddie Mercury, ce mélange d'extravagance, de talent et de mystère. La magie d’un biopic, c’est souvent cette capacité à offrir une version « optimisée » de la réalité, quelque part entre la vérité historique et la légende dorée.
Et ce n'est pas un cas isolé. Rocketman, le biopic sur Elton John, suit une approche similaire. Là où Bohemian Rhapsody essayait de rester relativement réaliste, Rocketman a plongé tête la première dans la fantaisie et l’exagération. Avec des séquences musicales dignes d’un rêve psychédélique, ce film n’a jamais prétendu être une simple reconstitution, mais plutôt une interprétation artistique de la vie d’Elton John. Et franchement, ça fonctionne ! Parce que la vie d’Elton John, c’est un spectacle à elle seule. Mais encore une fois, la question se pose : à quel moment l’art devient-il une réécriture de la réalité ? Ce genre de biopics nous rappelle que les célébrités ne sont pas seulement des personnes, elles sont des symboles, des histoires, et parfois, la légende importe plus que la vérité.
En France, ce phénomène est tout aussi visible avec des biopics comme Cloclo. Le film sur Claude François est un bon exemple de la manière dont la France gère ses icônes. Là où Bohemian Rhapsody a cherché à amplifier la grandeur d’un homme, Cloclo a plutôt mis l’accent sur ses zones d’ombre. Claude François, c’est la star absolue, mais c’était aussi un homme complexe, exigeant, parfois tyrannique dans sa quête de perfection. Le film ne cache pas ses défauts, et c’est peut-être cette honnêteté qui en a fait un succès en France. On est attiré par ces grandes figures, mais on aime aussi découvrir leurs failles, parce que ça les rend plus accessibles, plus humains. Il y a quelque chose de rassurant dans l'idée que même les plus grands ne sont pas parfaits.
Même démarche avec Dalida, un biopic qui raconte l’histoire tragique d’une autre icône de la chanson française. Le film retrace son ascension, mais aussi ses tourments intérieurs, ses relations difficiles, et son combat contre la dépression. Encore une fois, on est face à un mélange de vérité et de narration romancée. Mais ce que ces films réussissent à capter, c’est l’émotion brute, ce sentiment que l’on est témoin d’une vie exceptionnelle, même si tout n’est pas toujours 100% fidèle à la réalité.
Ce n’est pas seulement en Occident que ces récits prennent vie. En Asie aussi, le biopic est un genre qui trouve sa place. Par exemple, The Untold Story à Hong Kong est un film qui mélange biopic et faits divers, en racontant une histoire à la fois terrifiante et intrigante. Ce film ne suit pas exactement la même ligne de légende que les biopics occidentaux, mais il explore la manière dont les récits peuvent être adaptés, modifiés pour correspondre à une certaine sensibilité du public local. De même, Manto, un biopic indien sur l’écrivain Saadat Hasan Manto, joue sur les mêmes codes. Cet écrivain provocateur, qui a vécu la partition de l’Inde, est un symbole fort en Asie du Sud. Le film ne se contente pas de raconter sa vie, il capture l’essence de ses écrits, de ses pensées sur la société et la morale. Encore une fois, la réalité est remodelée pour servir une vision plus artistique de la vie de Manto.
Et que dire de Mandela: Long Walk to Freedom ? Ce biopic sud-africain sur Nelson Mandela est un exemple frappant de la manière dont l’Histoire peut se transformer en un mythe. Mandela est une figure mondiale, un symbole de la lutte contre l’oppression. Mais ce biopic fait aussi un choix : il ne se concentre pas uniquement sur les moments les plus sombres de sa vie, mais cherche à glorifier son parcours. Et c’est là où se pose la question essentielle : à quel point un biopic doit-il être fidèle ? Mandela est déjà une légende, mais ce film renforce encore ce statut. Est-ce une mauvaise chose ? Pas nécessairement. Ce que le public attendait ici, ce n’était pas une critique, mais bien une célébration de son héritage.
Même en Australie, on trouve cette volonté de raconter la vie des grandes figures. I Am Woman, le biopic sur Helen Reddy, chanteuse australienne et icône féministe, nous montre comment ses chansons ont accompagné un mouvement social. Ici, la musique devient un personnage à part entière, et bien que l’histoire soit légèrement romancée, elle capte cet esprit de révolution féminine des années 70. Comme pour Elton John ou Freddie Mercury, ce qui compte ici, c’est l’impact émotionnel.
Alors, pourquoi ces biopics choisissent-ils parfois de s’éloigner de la réalité brute ? C’est simple : la réalité, parfois, ça ne suffit pas. Les studios savent que le public cherche avant tout à ressentir quelque chose. L’émotion, la catharsis, c’est ce qui fait vibrer les spectateurs. La vérité historique est souvent une question de compromis. Il ne s’agit pas toujours de manipuler la réalité, mais plutôt de la rendre plus accessible, plus cinématographique. C’est un jeu subtil entre l’authenticité et le storytelling. Mais au final, la légende l’emporte presque toujours. Parce que ce qu’on retient, ce n’est pas la chronologie exacte des événements, mais l’émotion qu’on a ressentie en les revivant à travers l’écran.
Les documentaires sur les personnalités politiques - Portraits édulcorés ou regards critiques ?
Les documentaires politiques, c’est un genre fascinant parce qu'ils nous plongent dans l’intimité des figures qui façonnent le monde. Mais là où ça devient intéressant, c’est que ces films ne sont jamais vraiment neutres. Ils offrent souvent un regard qui oscille entre admiration et critique, tout en façonnant eux-mêmes l’image de ces personnalités. Alors, est-ce qu’on peut vraiment parler d’objectivité quand on touche à la politique ?
Prenons, par exemple, The Final Year, un documentaire qui nous embarque dans la dernière année du mandat de Barack Obama. On y voit l’équipe présidentielle, pleine d’espoir et de détermination, essayer de boucler les dossiers importants avant l’arrivée de Donald Trump. Ce qui est frappant ici, c’est que le film se veut presque une lettre d’adieu au leadership d'Obama, en glorifiant les défis et les succès de son administration. Les émotions sont là, mais est-ce que c’est vraiment impartial ? Pas tellement. On sent clairement que le film cherche à humaniser Obama, à nous faire regretter cette époque en contraste avec ce qui allait suivre. Mais c’est aussi ça, le pouvoir d’un documentaire : il raconte une histoire, même quand elle est biaisée.
Ce type de traitement n’est pas réservé aux États-Unis. En France, on a eu Le Pouvoir, qui offre un accès exclusif aux coulisses du mandat de François Hollande. Le film, comme beaucoup de documentaires politiques, ne se permet pas une critique frontale. On y voit un Hollande en proie à des décisions difficiles, avec une équipe dévouée autour de lui. On est presque tenté de ressentir de la sympathie pour cet homme souvent jugé sévèrement par l’opinion publique. Mais là encore, c’est un regard choisi : le film privilégie une vision humanisée plutôt que d’exposer les échecs ou les controverses. Ça rappelle qu’un documentaire politique ne peut jamais être totalement neutre, parce qu’il fait des choix éditoriaux qui influencent notre perception.
Et parfois, ces films plongent dans des portraits encore plus complexes, comme Imelda, qui nous fait découvrir la vie d’Imelda Marcos, l’ex-première dame des Philippines. Là, on ne parle plus de glorification, mais plutôt d’un examen presque excentrique de sa personnalité. Le documentaire ne cherche pas tant à la réhabiliter qu’à comprendre comment elle a pu incarner à la fois le glamour et la corruption. C’est un angle intéressant, parce que ce n’est pas juste un portrait critique ou flatteur, c’est une tentative d’explorer les paradoxes d’une personnalité controversée.
C’est un peu la même démarche qu’on retrouve dans des documentaires comme Ai Weiwei: Never Sorry, qui explore la vie et l’activisme de l’artiste dissident chinois Ai Weiwei. Ici, la politique se mêle à l’art, et le documentaire joue sur cette frontière. On ne cherche pas tant à nous faire aimer ou détester Ai Weiwei qu’à nous faire comprendre son combat contre le régime chinois. C’est un regard qui dénonce, mais sans forcément glorifier. Encore une fois, c’est une vision qui nous est proposée, et même si elle semble objective, elle ne peut pas l’être totalement. Chaque plan, chaque témoignage est sélectionné pour appuyer un message, une narration.
Et cette idée que le pouvoir est autant une question de perception que de politique, on la retrouve dans des documentaires plus inattendus, comme The Rumble in the Jungle. À première vue, on pourrait croire qu’il s’agit d’un documentaire sur un match de boxe mythique entre Muhammad Ali et George Foreman. Mais en réalité, c’est bien plus que ça. Le combat a été organisé par Mobutu, le président du Congo, dans une tentative d’affirmer son pouvoir sur la scène internationale. Ici, le documentaire ne nous parle pas seulement de sport, mais du jeu politique qui se cache derrière. C’est fascinant de voir comment un événement sportif peut devenir un outil de propagande politique, et ça nous rappelle que même dans un domaine aussi éloigné que la boxe, la politique n’est jamais bien loin.
D’ailleurs, cette idée d’utiliser un film pour sculpter une figure politique, on la retrouve aussi dans des documentaires comme Whitlam: The Power and the Passion, en Australie. Ce film sur Gough Whitlam, ancien premier ministre, montre bien comment l’histoire peut être revisitée à travers le prisme du documentaire. Whitlam est montré comme un visionnaire, un réformateur, mais le film n’hésite pas non plus à souligner ses échecs. C’est cet équilibre entre critique et admiration qui donne toute sa force au documentaire, et qui le rend si fascinant.
Finalement, qu’il s’agisse d’un président américain, d’un leader africain ou d’un dissident chinois, les documentaires politiques ne font pas que raconter des faits. Ils sculptent une image, créent un récit, et influencent notre façon de percevoir ces figures. Ils peuvent réhabiliter, comme ils peuvent critiquer, mais ils le font toujours avec une narration précise, jamais par hasard. Et la vraie question, au fond, c’est de savoir à quel point ces récits façonnent la réalité. Est-ce qu’on regarde un portrait fidèle, ou juste une version embellie ou dramatisée d’une histoire qui reste, quoi qu’il arrive, politique ?
Conclusion
Et voilà, on arrive à la fin de cet épisode, où on a décortiqué ensemble les séries true crime, les biopics de célébrités et les documentaires politiques. Ce qu’on retient, c’est que peu importe le genre, ces récits ont tous un point commun : ils brouillent volontairement les frontières entre la réalité et la fiction. Que ce soit pour nous fasciner ou pour critiquer, il y a toujours une part de dramatisation, et c’est justement ça qui rend ces œuvres si captivantes. Après tout, c’est là qu’on se perd dans l’histoire, entre ce qu’on veut croire et ce qu’on nous montre.
Maintenant, la question qui tue : est-ce qu’un bon biopic ou un documentaire devrait s'en tenir strictement à la réalité ? Ou bien, est-ce que cette petite touche de fiction, ce côté romancé, est nécessaire pour vraiment captiver le public ? Vous en pensez quoi ? Perso, je pense qu’un peu de drama, ça aide toujours, mais je suis curieuse de connaître vos avis.
Si cet épisode vous a autant captivé que votre série préférée, n’oubliez pas de vous abonner, de laisser un petit commentaire, et surtout de partager autour de vous ! On se retrouve très vite pour un nouveau tour dans le monde fascinant de la pop culture, toujours avec un bon cappuccino. Allez, à bientôt, et restez curieux !
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